Damien (21) Abidjan Lamine (3)
Quand nous revîmes de notre bain, Lamine se mit à genoux à côté de moi sa verge à demi flaccide, je pris le sexe dans mes mains et le décalottant je me mis à le branler lentement, l'effet ne fut pas long à se produire, le pénis s'érigea en de lentes saccades et finit par pointer fièrement vers le plafond, je forçai mon homme à se coucher et me mettant sur le ventre en travers de son corps, j'entrepris de lécher le phallus qui avait retrouvé ses fabuleuses dimensions.
Ma langue courrait le long de la tige turgescente, descendant parfois vers les bourses gonflées de sève pour les gober, les poils follets de ses testicules étaient humide du bain que Lamine venait de prendre, mes attouchements buccaux avait fait grossir la hampe, une goutte de sperme translucide perlait au bout de son méat, dans le creux de mes reins commençait à s'insinuer un désir langoureux, j'abandonnai un instant l'objet de ma dévotion, le priape était luisant de salive, mon mec posa sa main sur ma nuque et appuyant légèrement dessus me montra ce qu'il voulait, j'ouvris tout grand la bouche et entamai une lente fellation.
Au bout de quelques instants de ce traitement, mon amant commença à donner quelques coups de reins chaque fois que ma tête remontait le long de sa pine dressée, je continuai à la titiller tout en enroulant ma langue autour de sa colonne de chair et en la mordillant.
Soudain, Lamine stoppa ma pipe et se leva, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida sa bite entre elles contre mon antre béante, quand je sentis son gland contre mon sphincter affamé, je lui dis "Vas
y défonce moi".
Il pesa sur ma corolle toujours ouverte par notre étreinte précédente et entra en moi comme dans du beurre me faisant gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.
Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir sous les assauts répétés de mon homme, le sexe coulissait en moi sans aucune gène, chaque poussée m'ouvrait un peu plus le cul, j'avais du mal à respirer tant le plaisir qui affluait en moi était grand, j'avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe vers ce fabuleux pénis qui me cassait la pastille chaque fois qu'il plongeait en moi jusqu'à la garde.
Mes gémissements s'étaient depuis longtemps mués en profonds râles de bonheur, mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon mec m'assenait, le cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai la serviette de plage, chaque fois que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de plaisir, je voulais que mon homme entre chaque fois plus profondément en moi, repliant encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant ressortir plus mon anneau et accentuant l'angle de pénétration, Lamine se coucha sur moi et se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis, sous ses coups de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant traversa mon être, je me cambrais sous mon amant et un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.
Quand je repris conscience, Lamine était toujours en train de me besogner avec une régularité de métronome, voyant que j'étais revenu à moi, il se retira de mon cul et me fit mettre à quatre pattes puis me pénétra d'un violent coup de reins et me prenant aux hanches, se remit à me sodomiser me faisant aller et venir sur toute la longueur de son phallus.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon mec toujours d'un calme olympien m'éclatait de plus en plus la pastille, j'avais l'impression qu'il était en moi depuis une éternité, j'étais secoué de frissons de désir, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel enflammé, lâchant mes hanches Lamine me prit par les épaules et se mit à me pilonner l'arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à me faire mal, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes poussées de mon amant, tout mon corps tremblait tant j'étais excité chaque fois que mon homme m'enfilait jusqu'à la garde, j'étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir, je n'étais plus que jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, je me sentais partir un peu plus, je suppliais Lamine de décharger car seule sa semence pouvait éteindre l'incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris continuait à me défoncer la raie avec une régularité de métronome, le traitement que mon mec m'affligeait me faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien le cul pour accen la pénétration, des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, jamais je n'avais autant joui au cours d'une enculade, je voulais qu'il me démolisse complètement le fion, qu'il me déchire pour qu'il puisse entrer entier en moi, sous les virils coups de queue je tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l'air entièrement écartelé, Lamine m'ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des "HANS" de bûcheron, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur tout en tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes cuisses se dérobèrent sous moi et je m'affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l'univers cotonneux du plaisir physique, je sentis l'immense verge sortir de mon canal et mon amant s'allongeant à mes côtés se mit à me caresser, quand je rouvris les yeux mon anus palpitait toujours, la première chose que je vis fut le sexe toujours dressé de mon homme, ça là que je m'aperçus qu'il n'avait pas encore joui, s'étendant sur le dos Lamine me dit "viens
t'asseoir sur moi en me présentant ton dos".
Je m'exécutai, il guida son membre en moi et me prenant sous les cuisses me fit monter et descendre sur sa pine érigée.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon être, j'étais comme un fétu de paille entre les bras de mon homme, ma tête ballottait de droite à gauche au rythme de l'enculade que je subissais et je me remis à râler tout en enserrant la taille de mon mec de mes pieds, je posais mes mains sur ses jambes pour imprimer une cadence plus soutenue, le membre coulissait en moi merveilleusement, en dehors de mes râles entrecoupés de petits cris on entendait les bruits de succion que faisaient mon cul chaque fois que la verge turgescente s'enfonçait jusqu'à la garde.
Soudain Lamine me prit par la taille et m'immobilisa contre son pubis, puis il se mit à donner de violents coups de reins qui malgré qu'il me tienne me faisaient sauter chaque fois qu'il m'enfessait totalement, tel un pantin désarticulé, mon corps ballottait sous les furieux assauts que m'affligeait mon amant survolté, mes râles s'étaient mués en cris de jouissance, j'avais le cul en feu, tout mon être ravagé réclamait sa pitance, je voulais son sperme, tout en ondulant des hanches je le suppliais de m'inonder de sa crémeuse liqueur, mais lui sourd à mes cris continuait à me piner de toute la longueur de sa formidable bite, je planais littéralement le plaisir que je recevais était fabuleux, j'avais atteint la plénitude rectale, seule pour moi comptait l'extraordinaire phallus qui me forait les reins, j'avais rejeté la tête en arrière et je hurlai sans discontinuer, je sentais monter en moi les prémices d'un orgasme dévastateur, tout en moi appelait le mâle, je vivais plus que pour et par le priape qui me défonçait un peu plus à chaque fois qu'il m'enfilait.
Je bramais des obscénités pour exciter encore plus celui qui me prenait tant ce que je ressentais était grand, perdant toute notion des réalités je me mis à délirer.
Soudain une vague déferlante me balaya, je battis l'air de mes bras et jambes ouvrant tout grand la bouche pour chercher l'air qui me manquait, la jouissance explosa dans tout mon corps torturé, un strident hurlement pulsa de ma gorge, mon corps se tendit comme un arc et je tombai à terre sombrant dans l'inconscience.
Quand je recouvrais mes esprits, Lamine assis à côté de moi me regardai en fumant, son sexe était toujours en érection, il n'avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me dit "Alors
c'est bon ?
- Oh oui, je ai pris un pied géant mais toi mon pauvre quand
vas-tu jouir ?
- Tout à l'heure, j'ai encore envie de te voir jouir, tu es
magnifique quand on voit le plaisir sur ta gueule de
salope.
- Oui mais moi je voudrais que tu éjacule dans mon cul.
- Je vais t'inonder le cul cette fois-ci, ma pute, allez
mets-toi le cul en l'air, fais reposer ta figure sur la
serviette, les jambes bien écartées et ton cul bien tendu".
J'obéis, Lamine se positionna derrière moi en m'encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.
Sous les longs coups de boutoirs de mon homme je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais me cramponner pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accen la pénétration.
Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l'arrière-train, mais je voulais qu'il continue indéfiniment, les coups de reins de Lamine étaient si violents qu'à chaque fois qu'il se fichait au creux de mes reins, j'avançai sur la serviette, s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue, j'étais dans un brouillard où seul comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Soudain se plaquant contre mon fessier Lamine éjacula en râlant, ses épais jets de semence crémeuse m'inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d'une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé, les yeux clos je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m'écroulais à plat ventre essayant de retrouver ma respiration.
Quand je rouvris les yeux, Lamine me regardait en souriant assis sur l'autre serviette, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait enfin apaisé et gluant sur sa cuisse droite, levant la tête vers mon homme je lui dis "Qu'est ce
que tu m'as mis, jamais je n'ai ressenti un tel plaisir,
j'ai cru devenir fou.
- J'en suis heureux, car si on ne ressent pas de plaisir en
faisant l'amour autant regarder la télé.
- Tu as raison mais là c'était divin, tu m'as déjà fait bien
jouir mais ça n'avait rien à voir avec tout à l'heure.
- Je te l'avais promis.
- On peut dire que tu as été au-delà de toutes mes
espérances.
- Tu sais, quand on a un joli petit cul blanc comme le tien
entre les mains, on fait tout pour bien l'enculer.
- Crois-moi, tu as réussi, tu es vraiment un baiseur
fantastique.
- Merci ma salope.
- De rien, c'est la vérité.
- Bon maintenant on va se quitter et on se retrouve à côté de
la gare à sept heures
- D'accord
- Alors à tout à l'heure".
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